Les BFE étaient de passage à Montpellier le 22 mars dernier. Une occasion à ne pas manquer. Le groupe a réussi à conquérir un public qui n'était pas gagné d’avance : calme et poli les vingt premières minutes, en transe tout le reste du concert !
Malgré une faible médiatisation du combo New Yorkais, le Rockstore était plein.
L’affluence était probablement due à la collaboration de Cosmic Groove, disquaire montpelliérain spécialisé dans la musique soul funk pointue, et depuis peu, avec succès, dans l’organisation de concerts.
L’affiche psychédélique estampillée Radio Nova a pu également attirer des curieux avides de découvertes.
Quel que soit le motif de sa venue, le public n’a pas été déçu.
Une formation complète entre en scène, sans première partie. Trois lead singers ayant chacun son propre registre, un batteur, un percussionniste, un bassiste, un guitariste et une formation – presque – complète de cuivres : un saxophoniste et un trompettiste, également aux claviers.
Le groupe se présente comme un kaléidoscope de la musique noire américaine et ses dérivés.
Le show commence tranquillement avec des morceaux d'acid jazz, les auditeurs ne sont pas au bout de leurs surprises…
Des extraits grooves planants du dernier album, « Watcha playin’ », seront suivis de reprises reggae roots admirablement servies, ainsi que d’un mambo endiablé, et oui c’est ça aussi NYC.
Sans oublier LE tube du groupe « Big Apple Boogaloo » (1997), pour faire plaisir aux fans présents.
Ensuite, Hanifah Walidah, seule membre féminine du groupe, va passer en lead singer. Il faut se représenter un petit bout de femme à l’allure de garçon manqué.
Dotée d’une voix de chanteuse soul, sur scène c’est avant tout une comédienne, slammeuse et rappeuse, une boule d’énergie…..communicative !
Ca y est. Le public se lâche, lève les bras, remue dans tous les sens. On est dedans !!!
Le reste du concert va se passer dans la même euphorie, quelques titres ska finissant d’embraser l’ambiance.
Deux rappels plus tard c’est la fin, les lumières s'allument, une musique de fond remplace le son live qui nous a fait vibrer. On se dirige vers la porte de sortie, mais…..Qu’est ce qu’on entend ? C’est parti pour un troisième rappel ?!
Le plaisir était donc partagé. Les musiciens et chanteurs en redemandent aussi.
Malgré une faible médiatisation du combo New Yorkais, le Rockstore était plein.
L’affluence était probablement due à la collaboration de Cosmic Groove, disquaire montpelliérain spécialisé dans la musique soul funk pointue, et depuis peu, avec succès, dans l’organisation de concerts.
L’affiche psychédélique estampillée Radio Nova a pu également attirer des curieux avides de découvertes.
Quel que soit le motif de sa venue, le public n’a pas été déçu.
Une formation complète entre en scène, sans première partie. Trois lead singers ayant chacun son propre registre, un batteur, un percussionniste, un bassiste, un guitariste et une formation – presque – complète de cuivres : un saxophoniste et un trompettiste, également aux claviers.
Le groupe se présente comme un kaléidoscope de la musique noire américaine et ses dérivés.
Le show commence tranquillement avec des morceaux d'acid jazz, les auditeurs ne sont pas au bout de leurs surprises…
Des extraits grooves planants du dernier album, « Watcha playin’ », seront suivis de reprises reggae roots admirablement servies, ainsi que d’un mambo endiablé, et oui c’est ça aussi NYC.
Sans oublier LE tube du groupe « Big Apple Boogaloo » (1997), pour faire plaisir aux fans présents.
Ensuite, Hanifah Walidah, seule membre féminine du groupe, va passer en lead singer. Il faut se représenter un petit bout de femme à l’allure de garçon manqué.
Dotée d’une voix de chanteuse soul, sur scène c’est avant tout une comédienne, slammeuse et rappeuse, une boule d’énergie…..communicative !
Ca y est. Le public se lâche, lève les bras, remue dans tous les sens. On est dedans !!!
Le reste du concert va se passer dans la même euphorie, quelques titres ska finissant d’embraser l’ambiance.
Deux rappels plus tard c’est la fin, les lumières s'allument, une musique de fond remplace le son live qui nous a fait vibrer. On se dirige vers la porte de sortie, mais…..Qu’est ce qu’on entend ? C’est parti pour un troisième rappel ?!
Le plaisir était donc partagé. Les musiciens et chanteurs en redemandent aussi.
Le courant est bien passé entre Brooklyn et Montpellier.
Je propose un jumelage !
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